Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012.
21th Century Ford… Ranger
Après une carrière de plus de 10 ans assez discrète sous nos latitudes, c’est en Afrique du Sud que se prépare depuis 3 ans la relève du Ford Ranger. C’est là-bas, dans l’autre hémisphère, au pays du pick up roi, que nous nous sommes rendus afin de découvrir ce nouveau cheval de bataille 4×4 de la marque à l’ovale bleu. Nous y avons découvert un Ranger transfiguré prêt à affronter la concurrence mondiale puisqu’il sera distribué dans 148 pays. Ce “global Ranger“, fruit du fameux concept One Ford mettant en commun toute l’expérience maison et les souhaits d’une clientèle planétaire, fut une réelle bonne surprise. Ce Ford du 21e siècle annoncé en France pour le début 2012, il faudra désormais compter avec. Deux motorisations turbo diesel, sa confortable double cabine assortie d’une benne spacieuse, font que ce vrai 4×4 non permanent conserve tous les gènes nécessaires à la pratique de l’Off road. Son style très contemporain, sa caisse haute et bien carrée à l’arrière, ne devrait pas laisser insensibles les amateurs de pick up bête de somme ou loisirs et bien évidemment ceux qui rêvent du cousin américain, le F-150.
C’est loin l’Afrique du Sud, mais on oublie bien vite les heures en atmosphère climatisée lorsque l’on se retrouve enfin sur les pistes rouges de la région de Mpumalanga (Nord-est) à quelques nids de poules du gigantesque et unique parc Kruger. C’est là que nous avons essayé ce nouveau Ranger. Conçu afin de correspondre aux attentes du plus grand nombre d’utilisateurs, on aurait pu s’attendre au pire, mais en présence du Ranger, l’utilitaire surprend par sa carrure et son design de mini truck séduisants. Les trois barres de calandre chromées affirment un peu plus sa parenté avec les pick up US. Phares, longues portées, pare chocs couleur carrosserie, vitrage réduit et jantes alliages contre balance l’idée du 4×4 simplement fonctionnel du passé. Mais, fonctionnel, il le restera avec sa benne généreuse (1560 x 1544 x 511mm).
Confort avant tout
Ce qui est nouveau à bord de ce nouveau Ranger ? Tout à 99% ! Ford nous offre aujourd’hui le fruit de 3 ans de développement acharné afin d’offrir le meilleur produit possible dans la catégorie à prix compétitif. C’est fait, et bien fait.
Aux commandes de ce pick up tout est pensé berline actuelle, rien ne manque. Le tableau de bord moderne, dont les plastiques sonnent encore un peu creux à notre goût, compte tous les équipements qu’on attend aujourd’hui.
Lecteur CD, MP3, radio digne de ce nom, GPS et son écran côtoient climatisation double, supports de boissons, cubby box réfrigéré et astucieux espaces de rangements.
Le volant non-réglable se trouve pourtant à la bonne hauteur, on ajuste électriquement son siège en cuir au maintien efficace. Il ne reste plus aux passagers arrière qu’à embarquer. Ceux-ci seront certainement surpris par l’espace qui leur est dédié dans ce pick up. Oui, Ford ne les a pas oubliés, ils disposent de presque un mètre (maximum), entre dossier du siège avant et celui de la banquette. Et quand on dit banquette, on ne sous-entend pas “strapontin“. Le confort de l’assise et l’angle de 23°du dossier laissent enfin augurer de long parcours sans douleur dans un pick up. Un fait assez rare pour que l’on s’y attarde.
Duratorq
Si la conduite à gauche pratiquée en Afrique du Sud demande quelques attentions aussi bien aux carrefours qu’en ce qui concerne le maniement d’une boîte de vitesses manuelle et des commodos, piloter ce Ranger nouvelle génération est très plaisant tant au niveau du comportement routier que sonore. On est loin de la “camionnette“ du passé.
On profite d’autant mieux d’une direction précise, d’une tenue en virage très saine et d’un freinage efficace que l’on a sous le pied droit du répondant. En effet, les deux motorisations 3,2L et 2,2L TDCi proposées sur ce Ranger sont les clés essentielles de sont futur succès. Comment en être certain ? Nous ne sommes pas devins, nous les avons tout simplement testés.
Le TDCi 3,2L, bloc 5 cylindres développant 200 ch à 3 000 tr/mn sera certainement privilégié par ceux qui ont besoin d’une bête de somme dans la plus pure tradition. En effet, cette puissance effective ne fait pas du Ranger une machine de course. Sa puissance n’est rien à côté du couple disponible qui s’affiche à 470 Nm entre 1 700 et 3 500 tr/ mn…Un vrai dur à torque. C’est bien le but recherché par Ford. Le percheron de la famille Ranger c’est lui. Mais cette sensation de force ne fait pas lui un tracteur, le 180 km/h au compteur est vite atteint si l’on y prête pas attention. La magie de la fée électronique permet aujourd’hui ces moteurs puissants sans être pointus et coupleux sans être des veaux. Cerise sur le gâteau, les consommations s’affichent en baisse avec en cycle mixte un 10,6L/ 100 raisonnable pour le gabarit du Ranger.
Le TDCi 2,2L, le bloc 4 cylindres de la famille Duratorq est appelé à faire une belle carrière habillé de costumes bien différents, tels le célèbre Transit et certainement le dernier des Defender Land Rover sous sa forme actuelle. Cartographié ici pour 150 ch et offrir un couple de 375 Nm entre 1 500 et 2 500 tr/mn au Ranger, il est étonnant de vitalité, presque plus brutal à l’accélération que le 3,2L. Lorsque Ford annonçait une vitesse maxi similaire pour les deux motorisations, le doute était de mise. Quel mauvais esprit de notre part, le 180 km/h au compteur ça fonctionne aussi parfaitement.
Cette génération de moteurs diesel common rail à turbo à géométrie variable qui autorise des plages d’utilisations plus étendues, mais couple et puissance, ne sont rien sans des transmissions sur mesures. Ford a ici réussi l’accord parfait.
Si vous n’avez pas le choix avec les 6 rapports proposés sur le Ford Ranger, la balle reste dans votre camp en ce qui concerne l’option de la boîte. Si la boîte manuelle parfaitement étagée comblera les inconditionnels, pourquoi se priver aujourd’hui de l’automatique. Celle-ci disposant d’un mode séquentiel par simple décalage du levier, nous n’avons pas hésité une seconde. Ces merveilles de technologies sont d’ailleurs capable d’analyser votre conduite et surtout votre situation en Off- road. Cela permet sans contrainte d’optimiser la motricité.
Sur les wild tracks
Après 3 ans de gestation et des milliers de kilomètres de tests, on s’attendait évidemment à du nouveau comparativement au comportement Off road du Ranger ancienne génération. Ce fut bien au-delà du raisonnable que nous avons profité de ce nouveau 4×4. Sur les pistes Sud Africaines, on ne croise pratiquement que des pick up (environ 40% du marché local). Au même titre que le barbecue (dénommé Braai day et qui compte son jour de célébration le 24 Septembre), le pick up est une institution. Sur piste, pas question donc de faire dans le médiocre si l’on veut avoir une chance de vendre du Ford Ranger là-bas. Mission accomplie, l’usine de Silvertone (Prétoria), produit bien l’un des pick up parmi les plus confortables et sains du marché. Lancé sur les pistes de latérites, la benne vide, le Ranger affiche une tenue de cap exceptionnelle. Si lorsque le relief se fait plus accidenté la fermeté des suspensions reste de rigueur (lames de ressorts et essieu rigide arrière), l’abandon de la barre de torsion avant au profit de ressorts hélicoïdaux dévoile ses effets bénéfiques pour une direction qui reste précise en toutes circonstances. Cela permet de jouer la trajectoire et si l’on est joueur de repasser en 4×2 pour plus de sensations fortes sur les larges pistes.
Un peu de frein moteur, nous arrivons sur le circuit dédié au franchissement mis à notre disposition par Ford. C’est ici que ce Ranger nous épatera littéralement. Malgré un empattement de plus de 3,20 m, un porte-à-faux arrière respectable, des angles et une garde au sol dans la moyenne, il s’avère vraiment à l’aise en franchissement. Équipé de pneus mixtes Continental, sa motricité fut sans défaut. Le maniement classique de la boîte de transfert à réduction (1 à 2,48) et blocage central s’affiche clairement sur le compteur et, riche d’un blocage de pont arrière la progression face aux obstacles se fait en douceur. On peut évidemment mettre une fois encore le couple des deux motorisations à l’honneur, mais aussi les aides électroniques qui pourtant se font discrètes. La sensation de vraiment piloter ce 4×4 à l’ancienne est une réalité (ESP désactivé automatiquement en courte). L’usage de l’aide au démarrage en côte (HLA) et le HDC (aide à la descente) devient naturel et s’imposent comme une nouvelle philosophie qui correspond bien à ce Ranger si efficace ; L’électronique n’est plus un souci mécanique, il la préserve.
C’est d’ailleurs pour ceux qui tracteront au quotidien que le Ranger offre encore l’aide précieuse du TSC (Trailer Sway Control), agissant sur vitesse et freins, le temps de remettre une remorque dans l’axe. Important lorsque l’équipage pèse plus de 3 tonnes sur la balance. Dans le cas où c’est la benne qui supporte une lourde charge, l’ALC (Adaptativ Load Control), veille à son tour agissant sur le même principe. Le Ranger n’est pas destiné aux seules joies de l’Off road sur les Wild trak , c’est aussi pour aller au boulot, ne l’oublions pas…
Avec ce Ranger disponible début 2012, Ford lance un pavé dans la marre aux pick up de la planète. Fort d’être pourvu des standards actuels de la catégorie aussi bien au niveau performances, finition, équipement et tarifs, son design musclé de petit truck à l’américaine ne sera certainement pas pour rien dans son succès. Qu’il soit XL (entré de gamme), XLT où Wildtrak, qu’il soit habité du 3,2L ou du 2,2L, ce Ranger né Global Ford est une réussite.
Fiche Technique
Mécanique :
Type moteur :
2,2L Duratorq TDCi
4 cylindres en ligne diesel, turbo à géométrie variable et injection à rampe commune (pression 1 800 Bar) > Cylindrée : 2198 cm3 > Alésage x course : 86,0 x 94,6 mm> Puissance : 150 ch à 3700 tr/mn > Couple (boîte auto): 375 Nm entre 1500 et 3700 tr/mn > Contrôle émissions : filtre à particules et EGR refroidi par eau.
3,2L Duratorq TDCi
5 cylindres en ligne diesel, turbo à géométrie variable et injection à rampe commune (pression 1 800 Bar) > Cylindrée : 3198 cm3 > Alésage x course : 89,9 x 100,76 mm> Puissance : 200 ch à 3000 tr/mn > Couple (boîte auto): 470 Nm entre 1500 et 2750 tr/mn> Contrôle émissions : filtre à particules et EGR refroidi par eau.
Transmissions :
Modèles 4×4 et 4×2 > Boîte de vitesses Ford MT82 manuelle à 6 rapports et Ford 6 R80 automatique 6 rapports (et mode sport manuel)
Modèles 4×4 > Transmission : 4×4 non permanent à pont avant enclenchable > Réduction : Oui, (1 à 2,48) > Différentiel central blocage : oui > Différentiels arrière blocage: oui.
Structure :
Châssis : Type échelle> Carrosserie :Acier > Nb de portes/ places : 4/ 5.
Liaisons au sol :
Suspensions avant : Indépendantes à double triangulation et ressorts hélicoïdaux > Suspensions arrière : Essieu rigide à ressorts de lames > Frein avant : à disques ventilés (302 x 32 mm) > Freins arrière : à tambours 270 X 55 mm (4×2) et 295 x 55 (4×4) > ABS : Oui + HDC, TSC, TSM, LAC, EBA, ROM, EBL > Direction : crémaillère (assistée) > Diamètre de braquage : 12,4 m (4×4) > Tours de volant : 3,5 > Jantes : Acier 16x 6,5 et 7, Alliage 17 et 18x 8,0 > Pneus 215/ 70 R 16 à 268/ 60 R 18.
Le gabarit Double Cab :
L x l x h : 5 359 x 1 850 x 1 815 mm > Empattement : 3 220mm > Voies av. / Ar. :1 560 / 1 560 mm.
L’habitacle Double cab:
Largeur aux coudes avant /arrière : 1 440mm > Garde au toit : 955 mm > Distance entre dossier avant et arrière : 710 à 910mm > Airbag : Oui (4 avant et 4 latéraux).
La benne Double Cab:
Lx l x h: 1560 x 1544 x 511mm > Largeur en passage d’ailes : 1140 mm > Seuil de chargement : 840mm.
Les poids Double cab 2,2L (et 3,2L) :
À vide: 2048 kg ( 2083 kg) > Charge utile : 1152 kg ( 1117 kg) > Remorquable : 3 350 kg.
Les aptitudes Off road :
Angle d’approche : 27,7° > Angle ventral : 24,4° > Angle de sortie : 25,9° > Garde au sol : 232 mm.
Performances (3,2L TdCi automatique):
Vitesse maxi : 175 Km/h > 0-100Km/h : 12“10 > 1000 m DA : 28“10 > De 40 à 60 Km/h : 3“00 > De 40 à 80 Km/h : 4“04 > De 40 à 100 Km/h : 8“20 > De 60 à 90 Km/h : 4“34 > De 90 à 130 Km /h : 10“10.
Conso : Données constructeur (3,2L et 2,2L automatiques):
Réservoir : 80L > Urbain : 13,1L/ 12,5L > Extra urbain : 9,2L/ 8,5L > Cycle mixte : 10,6L/ 10,0L > Emissions de CO2 : 281g/Km/ 264 g/km.
BILAN
Rapport Prix /prestations
****
Vie à bord
Habitabilité : Confort au top de la catégori
Benne : Bien que très spacieuse, le seuil de chargement est haut
Finition : Malgré une finition soignée, les plastiques sonnent creux
Équipements : Complets, multimédia à la page
Niveau sonore : Digne d’une berline
On Road
Performances : Les 2 Duratorq sont vaillants
Agrément : Silence et confort au rendez-vous
Consommation : Non évaluée
Off road
Piste : Afrique du Sud “approuved“
Franchissement : Aides électroniques discrètes, efficaces, utiles, l’initiative reste au conducteur
Transmissions : Sans défauts, baroudeurs satisfaits
Finitions :
XL :
Jantes acier 16’
Bluetooth et contrôle du son au volant.
Écran couleur multi fonction 12 cm.
Cruise control au volant.
Vitres avant et rétroviseur électriques.
Clé à télécommande.
XLT
XL +
Sellerie cuir (Limited)
Jantes alliage 17’.
Blocage du différentiel arrière.
Essui glace à sensor pluie.
Climatisation séparée.
Rétroviseur électromagnétique.
Capteurs de marche arrière.
Bedliner et prise 12V dans la benne.
Pare chocs arrière chromé.
Crochet de remorquage.
Glaces teintées.
Console centrale réfrigérée.
Wildtrak
XLT +
Jantes alliage 18’.
GPS de navigation couleur intégré.
Caméra de recul.
Sièges cuir et tissu dédiés.
Sièges avant réglables électriquement et chauffant.
Rails de toit.
Tarifs Double Cab France:
– 2,2L TDCi 150ch 4×4 :
XL Pack 25 000,00 € (HT commercial)
XLT Sport 31 900,00 €
Limited 34 900,00 €.
– 2,2L TDCi 150ch 4×4 BVA:
Limited 36 900,00 €
3,2L TDCi 200ch :
Wildtrak 37 900,00 €
3,2L TDCi 200ch BVA :
Wildtrak 39 900,00 €
OPTIONS
Attelage : De 390 à 450 €
Peinture métallisée : De 280 à 580 €
Fermeture de benne rigide coulissante : 2 000 €
Système de navigation GPS : 950 €
Hard top : 2 090 à 2 500 €
Couvre tonneau : 1 672 à 2 000 €
Couvre tonneau souple : 700 à 837 €
Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012
Un gros défaut a signaler.
J’ai commandé un ‘WILDTRAK’ le 27/07/2012
et à ce jour Ford est incapable de me donner des sur une éventuelle livraison.
NB Ma fille a commandé le même à la même date et elle est dans le même inconu
Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012
Idem pour un Wildtrack à commander en janvier 2013 : un an de délai annoncé « sans garantie ». Les concessions (en PACA) semblent incapables de maîtriser les délais d’approvisionnement. Un comble ; on a les clients, on parle de 40 K€ mais on ne sait pas donner de délai.
Conclusion je me rabat sur une marque capable de me donner plus de visibilité.
Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012
moi aussi commande passee, d’un wild track le 9.5.2012.et toujours en attente de livraison (peut-etre 25 mars???)
Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012
j’hesite entre un NAVARA et un WILDTRACK je sais qu’il y a 9mois d’attente.
Quid de la conduite sur neige? j’habite dans les hautes alpes… Quelqu’un aurait un avis éclairé?
merci.
Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012
Moi j’ai commandé mon wildtrak le 21/04/2013 et je vais le chercher le 14/05/2013
Oui 1 mois d’attente vous avez bien lu 😉
Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012
comment je peut changer la langue de l’ordinateur d bord svp !
Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012
Super véhicules mais c’est du virtuel, attente plus d’un an j’arrête avec Ford, relation client minable, et toujours pas de véhicules je vais à la concurrence.
Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012
Salut, j’ai le Wild 3.2 L depuis juin 2013 et c’est que du bonheur 14.500 km de plaisir
Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012
BEN MOI ON ME PREVIENT UN AN DE DELAI ET JE L AI RECU APRES 8 MOIS UN WILDTRACK GRAND CABINE.
Pick up Ranger, Duratorq (TDCi 2,2L et 3,2L) Ford 2012
j’adore mon wildtrack !! commandé en janvier 2015 , et reçu le 03 avril… un jour avant la date prévue… je viens de faire un aller-retour Bruxelles / Lac de constance , soit +/- 1600km… conso moyenne 10.70l/100km… seul petit reproche : les phares , en croisement , manquent un peu de portée…Mais j’adore!!!