Raid bochiman

Devenu une classique du raid aventure, le raid Bochiman confirme l’intérêt que portent les aventuriers motorisés modernes au sud du continent Africain. Axé sur la découverte du Kalahari, l’itinéraire nous a permis de découvrir les mille merveilles que recèlent ces régions encore authentiques et de rencontrer quelques uns de ces hommes extraordinaires que sont les Bushmen (les Bochimans).

Un reportage plus récent sur ce raid, en cliquant sur l’image ci dessous :

Il reste des places pour l’édition 2009, profitez en !!

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<< Si tu veux confier ton mal de vivre moderne, raconte ta peine à un Bochiman... sans comprendre tes mots, patiemment il t'écoutera et te donnera sûrement toute la chaleur de son incompréhension.>>, c’est ainsi qu’Alain Roualland, l’organisateur de ce raid aime à présenter ces hommes, emprunts de toute la sagesse que leur confère leur vie simple, et leur expérience de la nature et du bush.

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En quittant le 747, tout juste posé sur la piste de Gaborone, l’atmosphère propre au sud Africain nous enveloppe d’un coup. La senteur du bush faite d’effluves d’herbes sèches, d’acacias, d’eucalyptus et de fine latérite nous accueille et déjà nous incite à partir à la découverte des grands espaces que nous venons de survoler. La température assez élevée, malgré l’hiver austral à cette période (Août/Septembre), contient peu d’humidité et demeure très agréable. Dans la surprenante mais traditionnelle indolence Africaine, nous expédions les formalités administratives et prenons possession de nos compagnons de piste : des Toyota Hi-Lux flambants neufs. Tandis que l’appel de l’aventure nous presse, nous effectuons rapidement les achats de vivres nécessaires aux premiers bivouac et mettons le cap sur le Kalahari.

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Destination : Kalahari.

Après quelques centaines de kilomètres de piste, tantôt roulante, tantôt technique, nous entrons dans la réserve de Mabuasehube. Peu connue, en raison de son éloignement, celle-ci contient une bonne densité de Gemsboks (une espèce d’antilope aux cornes droites comparable à l’oryx saharien) et une forte population de lions. Fort de ses expériences passées, Alain a vivement conseillé de dormir à l’intérieur des voitures, malgré la position qui nous paraît peu confortable.

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Cependant, quand, au beau milieu de la nuit nous entendons les fauves gronder en déambulant dans le campement à la recherche d’une bonne fortune, sa décision nous semble tout à fait judicieuse. Au matin, un garde vient nous chercher pour aller à la rencontre des deux jeunes mâles qui nous ont rendu cette visite nocturne. Pas plus agressifs qu’effrayés, ils laissent approcher nos Toyota jusqu’à quelques mètres, tandis que le ranger et Chantal tentent une sortie.  » A moins de dix mètres, de l’animal sauvage en totale liberté, c’est impressionnant. Mais le plus rageant, c’est quand tu te rends compte que la batterie de ton camescope est à plat !  » nous a déclaré cette dernière, quand son émotion fut dissipée.

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C’est également l’occasion de découvrir de drôles de petits phénomènes qui nous observent. Dressés sur leurs pattes arrière, ils scrutent l’horizon et guettent le moindre danger comme les marmottes ou les chiens de prairie. En un instant, ils disparaissent dans le terrier familial à la plus petite présomption de menace. Souvent présentés comme le symbole du Kalahari, ce sont les suricates, des petits rongeurs assez semblables à leurs cousins les écureuils des sables. Ces animaux familiers et joueurs, leur première peur passée, viennent vite à notre rencontre, toujours prêts à récolter quelques gâteries

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Les Afrikaners.

Le parcours nous mène en Afrique du sud, pour une petite incursion dans le grand nord du pays. Brusque changement dès le passage de la frontière, les pistes deviennent, d’un coup, larges et roulantes. Elles sont revêtues d’une couche de gravillons qui se modèle au fil des passages, formant de petites ornières qui font facilement dériver les voitures. Là, toute notre attention est nécessaire pour prendre en main ce nouveau type de pilotage. Avec une adhérence assez faible et les ornières qui impriment au nez de l’auto de constants écarts, il faut être prévoyant et anticiper les réactions. Malgré cela, elles autorisent quelques audaces avec le tachymètre, mais, attention, car elles pardonnent peu et la faute est souvent lourdement sanctionnée. A Vanzylrus, nous découvrons une petite communauté de ces rudes fermiers locaux qui ont domestiqué le désert. Les Afrikaners ont truffé cette partie du Kalahari de milliers d’éoliennes qui irriguent sa surface grâce à l’eau pompée au plus profond de ses entrailles. Pas un pouce de terrain n’est oublié, partout ce sont d’immenses exploitations dont l’aspect colonial rappelle  » Out of Africa « . Les propriétés sont totalement clôturées de façon à contenir le bétail domestique et sauvage (gemsboks, springboks, impalas, autruches etc..) objet de chasses privées fort prisées. L’hôtel qui accueille une partie de notre expédition est tenu par un de ces hommes durs mais chaleureux. Ici, pour réchauffer l’atmosphère (à cette saison, il gèle encore la nuit sur le haut plateau de Vanzylrus) l’alcool coule à flot dans les verres que l’on boit bras entrelacés, tandis que l’on braille des chansons incompréhensibles pendant une bonne partie de la nuit… Ambiance !

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Les dunes du Namib.

A l’approche de la Namibie, le paysage change et arbore un autre charme. On dit que Dieu a créé la terre de Namibie un jour de grande colère. Comment en douter quand on contemple cette terre rouge et déchirée d’où émergent, éparses, des roches fragmentées et aiguës comme autant de blessures à vif résultant d’une flagellation divine. Ce relief sauvage et tourmenté se pare de splendeurs géologiques. Fish River Canyon, certes moins majestueux que son grand frère du Colorado, mais néanmoins grandiose, revendique avec fierté la deuxième place au hit-parade mondial des gorges creuses. Le désert du Namib, le plus vieux désert du monde, est une autre merveille. Ses dunes de sable rouge, les plus hautes de notre bonne vieille terre, composent un écrin féerique au lac de Sossusvlei (parfois, ce dernier est encore en eau lors de notre passage). Le désert du Namib jouit d’une position particulière, entre la chaleur intérieure du continent Africain et la fraîcheur du Benguela, courant froid venu de l’Antarctique qui longe la côte Atlantique à cet endroit. Cet étonnant contraste thermique donne lieu à quelques manifestations météorologiques. Une éternelle barre de nuages, résultat d’une condensation excessive, surplombe la région côtière. Chaque nuit, cette humidité providentielle s’en va irriguer les sables et abreuver ses habitants. De nombreux animaux habitent ce désert. Souvent, ils se sont adaptés à ce rythme biologique particulier et ont développé des caractères spécifiques parfois curieux, tels le gecko, lézard aux yeux immenses sur lesquels l’eau se condense et que l’animal lèche avec application, ou encore, le scarabée du Namib qui se tient face aux embruns, tête en bas, pour qu’en se condensant sur son dos l’eau ruisselle jusqu’à sa bouche. A Luderitz, ville du diamant, nous découvrons avec surprise une ambiance scandinave qui tranche hardiment avec les paysages que nous avons traversés jusqu’à présent. La côte Atlantique est toute entière refroidie par le Benguela et abrite des colonies de phoques, de pingouins et d’oiseaux tout droit issus des régions froides du globe. A Diaz Point, nous avons une pensée pour un véritable aventurier, le navigateur portugais Bartolomeu Dias, découvreur de ses terres en 1487 avant de doubler, pour la première fois, le cap de bonne espérance.

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Etosha, le grand espace blanc.

Plus au nord nous atteignons Etosha, perle des réserves de Namibie. En Tswana, la lange locale,  » Etosha  » signifie  » le grand espace blanc « . Ce cliché fait référence au pan, grand lac salé de 5.000 km² qui occupe le centre du parc et un quart de la superficie totale. Généralement asséché, le pan expose une immense surface plate de sel blanc au soleil tropical. La chaleur dispense une brume délétère hérissée de mirages, composant le plus surréaliste des décors sauvages. A la saison des pluies il s’emplit d’eau et devient le royaume éphémère des flamands roses, des pélicans et de nombreuses races d’oiseaux aquatiques. Nous avons découvert Etosha en pleine saison sèche durant laquelle, seuls les quelques trous d’eau alimentés par des puits artésiens continuent à prodiguer leurs largesses aux milliers d’animaux qui peuplent cet éden animal. C’est une période favorable à l’observation, tant la concentration est forte, ainsi nous avons la chance d’assister au rituel quotidien où les différentes espèces d’herbivores se côtoient, autour des mares, en une sorte de pacte tacite. Quelquefois, un rhinocéros solitaire ou une troupe d’éléphants s’approche, dispersant la gent légère qui s’écarte prudemment. Si ce sont des carnassiers qui manifestent leur soif, seuls les chacals resteront, à distance respectable, pour bénéficier d’une éventuelle bonne occasion. Dans Etosha, on circule sur des pistes correctement entretenues, au milieu d’animaux qui, n’étant pas chassés par l’homme, se montrent peu farouches. Méfiance tout de même, car les grands prédateurs sont nombreux et peuvent se révéler très dangereux si on quitte l’abri des voitures. Eléphants et rhinocéros, parfois susceptibles, savent aussi se montrer belliqueux si on les surprend ou s’ils sont effrayés.

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Kaudhom, une vision sauvage de l’Afrique.

Alain a proposé au groupe une escapade sauvage : la traversée de l’inaccessible Kaudhom. Il nous a longuement expliqué les difficultés de ce parcours (notamment lié au manque de carburant, car, malgré les deux réservoirs dont sont équipés nos véhicule, leur autonomie est un peu juste et le parcours, lui, est très exigeant en énergie moteur). Deux clans se déclarent, : les sages emprunteront la route qui contourne la réserve et traverseront la bande de Caprivi en convoi, afin de déjouer les risques liés aux rebelles Angolais, qui passant la frontière, rançonnent les touristes qui s’y aventurent ; les autres suivront notre guide pour une aventure inoubliable à travers cette réserve plus que sauvage ; rendez-vous est donné au bivouac des chutes de l’Okavango (déjà un programme).

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Le groupe routier ayant mené sa liaison en une demi journée a installé le bivouac au pied des chutes et attendu patiemment le groupe des aventuriers qui, finalement, arrivera au milieu de la nuit après avoir parcouru 700 Km à travers la plus authentique des régions de Namibie et vibré tout au long de ce parcours de rêve.

Okavango, le dernier Éden.

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Le fleuve Okavango est méconnu, la vedette lui ayant été volée par le delta du même nom qui en est la terminaison naturelle, et pourtant c’est, en importance, le troisième cours d’eau du sud Africain. Le delta de l’Okavango est un lieu légendaire entre tous, il est souvent décrit comme le dernier éden animalier de la planète. Il est constitué de milliers d’îles, lagons et canaux et occupe 15 000 km² des sables du Kalahari. Inutile de compter s’aventurer seul dans ce labyrinthe liquide, ou, malgré les GPS, il est très difficile de tracer sa route. Ici, le plus court chemin d’un point à un autre n’est certainement pas la ligne droite. La hauteur des eaux influe énormément sur le tracé des pistes, et il faut parfois faire un détour de plusieurs dizaines de kilomètres pour simplement pour accéder à l’autre rive d’un bras qui barre le chemin. C’est donc à bord de mokoros, petites pirogues faites d’un tronc d’arbre évidé, et accompagnés d’un guide, que nous préférons partir à la découverte de ce paradis de marécages. La population d’animaux est considérable, les hippopotames et les crocodiles y pullulent. Oiseaux de mille variétés, animaux de la jungle, de la savane et autres espèces aquatiques composent le reste de cette faune privilégiée qui trouve eau et nourriture à satiété dans un domaine où la présence de l’homme ne se fait sentir que sur les franges extérieures. De canal en lagon, les hommes des tribus qui se sont spécialisées dans cette vie de pêche et d’eau, circulent sans jamais s’égarer. Leurs embarcations glissent silencieusement au coeur de ce décor féerique où les teintes saturées sont amplifiées par leurs reflets et où les formes se dédoublent comme si la nature voulait inverser le ciel et la terre.

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Les montagnes sacrées.

La piste qui mène aux montagnes sacrées des Bochimans, se faufile dans le bush (la savane sud-africaine) entre les mopanes et les acacias. Elle est difficile, toute de grosse tôle ondulée, pleine d’ornières et de nids de poules, il est inutile de vouloir déjauger les autos, trop défoncée, étroite et sinueuse, c’est la sortie de piste assurée. Alors, il faut prendre son mal en patience et enrouler sur les rapports courts. En arrivant, fatigués, nous ressentons une ambiance particulière, pesante, presque solennelle, comme dans un lieu saint, comme si nous étions l’objet d’une divine surveillance. Il faut dire que l’endroit est magique. Les trois collines, le mâle, la femelle et l’enfant, jaillissent brutalement au milieu du bush. Les roches déchirées sont décorées de motifs primitifs.

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Au couchant, elles se parent de reflets rosés et, la nuit tombée, restituent une douce chaleur. Toute la nuit, une véritable tempête nous consigne au plus profond de nos tentes. A l’extérieur, le vent mugit en s’engouffrant entre les roches et dans les anfractuosités, les branches qui nous surplombent craquent et gémissent sous la poussée des éléments. Des rafales plus appuyées couchent au sol nos tentes qui n’ont pas été haubanées, tandis que le sable y pénètre par tous les interstices, nous couvrant de poussière de silice. Pourquoi cette colère subite ? peut-être avions nous déplu aux dieux du bush ?

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Heureusement leur colère se contentera de cette démonstration de puissance et le lendemain matin, les cieux apaisés, Alain nous emmène visiter un village San qu’il aime entre tous. Ses habitants sont un exemple de pauvreté, mais assument avec courage leur état de dépouillement. Ils connaissent bien Alain, malgré cela, nous sommes nombreux et ca les impressionne. L’ambiance ne se détend vraiment que quand nous commençons à distribuer vêtements, aliments, friandises et outils que nous avons patiemment réservés à cet effet depuis le début du raid. Xau est le chef de la tribu et règne avec une autorité toute emprunte de bonhomie. Sa physionomie est typique de celle des Sans. Il mesure environ 1 m 50 et doit peser moins de 50 kilos. Malgré sa peau ridée comme celle d’un vieillard et ses joues creusées, son visage jovial respire la bonté et ses yeux pétillent de malice et de vie. Il nous adresse quelques mots de remerciements dans son langage à la sonorité si particulière entrecoupé de quelques mots d’anglais et nous reprenons la piste.

Sur les traces de Livingstone.

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Encore quelques rencontres fantastiques avec les éléphants et les guépards de Chobe, un bivouac à Savuti hanté par les hyènes (Non, non t’inquiète pas patron ; la hyène pas manger homme !), une croisière fabuleuse, à la tombée du jour, sur la Linyanti River et nous pénétrons au Zimbabwe en empruntant les traces de Livingstone et aller découvrir les Victoria Falls, révélées au monde par le célèbre explorateur écossais en 1855. Longues de 1 700 mètres, hautes de 107, situées à cheval sur les territoires du Zimbabwe et de la Zambie, les chutes du Zambèze sont considérées comme les premières au monde.

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Dans la végétation luxuriante qui les entoure, la visite est un véritable régal, où reviendront les vieux clichés: explorateurs en tenue coloniale, machettes, porteurs, serpents, fauves… Dans une humidité extrême, assurée par la pulvérisation de fines gouttelettes, nous admirons le spectacle hallucinant des 700 000 mètres cubes d’eau projetés chaque minute du haut des falaises abruptes. Après cela, nous regagnons le Botswana pour approcher la région des Makgadikgadi en empruntant une vieille piste oubliée de tous, qu’Alain a réouverte en 1997.

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Cette région est constituée d’immenses lacs salés dont la superficie totale atteint 20.000 km2 (c’est presque celle de la Belgique), où la navigation revêt une importance capitale. Ici GPS et compas deviennent des instruments de première nécessité et il faut redoubler d’attention car il est dangereux de s’écarter des pistes balisées au risque de voir son véhicule disparaître à jamais, absorbé par les boues qui stagnent sous la croûte de sel. Aussi, suivons nous avec application la voiture d’Alain qui ouvre la piste avec prudence et louvoie à la recherche du bon cap et des zones franches et solides. Après un dernier bivouac de rêve sous les Baobabs de Kubu Island (une incroyable île déserte dressée au beau milieu du Sua Pan) nous entamons l’ultime et déprimante liaison de retour vers la civilisation.

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La nostalgie aidant, je prends conscience que, la bas, aux confins du Kalahari, là où les montagnes s’érigent en famille, il existe des petits hommes qui vivent encore comme vivaient nos ancêtres à tous, il y a des milliers d’années. A chaque nouvelle rencontre, notre modernité les perturbe durement et ébranle les fondements de leurs culture. Et s’ils détenaient la vérité, si la sagesse était leur simplicité, si leur dénuement renforçait les valeurs essentielles de l’homme et de l’humanité, devrions nous encore les détourner de leurs racines en les encombrant de notre attention et des surplus de notre civilisation qui les dirige vers un monde de propriété qui ne leur convient pas ?

Raynald Alluan

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FICHE TECHNIQUE

Les véhicules :

Les excellents TOYOTA HI-LUX 4X4 double cabine sont loués chez Avis à Gaborone. Ils sont généralement flambants neufs et dotés de la climatisation. Le moteur 2.4 l essence n’est pas d’une grande fougue, mais il a su nous satisfaire. Avec son gros couple et son bon caractère, le Hi-Lux se permet des pointes à 160 km/h sur route (il n’y en a pas beaucoup) en toute sécurité. Le freinage est satisfaisant et la tenue de route très rassurante. Les autos dans leur ensemble (11 véhicules ayant quasiment parcouru 12.000 km de difficile piste de brousse) ont prouvé une nouvelle fois la fiabilité sans faille du constructeur Japonais avec un zéro panne et un zéro emm……..

Raid BOCHIMAN :

Ouvert à tous, il prend place chaque année en Juillet et/ou en Août et, sur demande, entre avril et octobre. Afin d’améliorer l’encadrement et le professionnalisme du raid Bochiman, Alain Roualland a conclu un accord d’organisation avec Jean-Jacques Feuillerat de SAGATOURS, autre grand spécialiste de l’organisation de raids 4X4.

Si l’aventure vous tente, déclarez vite votre intérêt car les places sont comptées. Pour recevoir, dès sa parution, le règlement complet du raid, envoyez simplement vos noms et adresse par courrier à :

SAGATOURS

4, avenue Foch – Espace Foch

64200 BIARRITZ

Tél : 05 59 22 21 14

Fax : 05 59 22 21 13

Coûts.

Evidemment, une pareille aventure n’est pas spécialement bon marché, mais eu égard au trajet avion aller/retour, à la location du véhicule en kilométrage illimité et aux excellentes prestation d’hébergement (il y a une nuit à l’hôtel prévue tous les trois ou quatre jours) c’est très raisonnable. D’ailleurs ces coûts sont à comparer avec les coûts engendrés par un raid parcouru avec son propre véhicule : préparation, remise en état, usure, pneumatiques, amortisseurs, etc..
Il faut compter environ 4.000 Euros par personne pour le raid de trois semaines et 3.500 Euros pour le raid de deux semaines (édition Kalahari au Botswana et Zimbabwe), selon le cours des changes.

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